Vienne, début décembre 1791. Mozart est alité et très faible.
La fièvre le fait délirer. Il suit mentalement à distance les représentations de sa Flûte enchantée, invite quelques amis à déchiffrer les esquisses de son Requiem…
Entre ombre et lumière, opéra et musique sacrée, ce concert nous fait entrer dans l’intimité des dernières heures du grand compositeur, dans son salon, dans sa tête et son c(h)oeur.
Mozart est là, magnifique.
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